Projet Dvorak sur les rails
(...) Il s’agit de l’Opus 131 de Beethoven, une des plus hautes créations de l’esprit humain. L’interprétation du Quatuor Akilone se hisse à la hauteur du chef-d’oeuvre. Tout y est : la mélancolie de la fugue initiale, la grâce de l’Allegro, l’approfondissement progressif des variations de l’Andante, l’ivresse du Presto et le dramatisme du final dont les interprètes se jouent des difficultés d’intonation. Elles ont tenu les promesses que le jury du Concours international de Bordeaux avait senti en elles en leur décernant le Grand Prix en 2016.