Arts-Scène Diffusion

L'Achéron

MUSIQUE ANCIENNE

Lachrimæ Lyræ — Les larmes de l'exil

John Dowland,

Lachrimæ Lyræ — Les larmes de l'exil

Fuga Libera, 2019

Sokratis Sinopoulos: lyra grecque

& L’Achéron
François Joubert-Caillet: dessus de viole & direction
Andreas Linos: viole de ténor
Lucile Boulanger: viole de ténor
Sarah van Oudenhove: viole de basse

Basé sur une idée originale d'Andreas Linos



D’après les Lachrimæ or Seaven Teares de John Dowland, une rencontre entre le consort de violes et la lyra grecque peignant ici ensemble un tableau transversal et apatride de la mélancolie avec, en contrepoint, l’espoir et la joie d’un avenir radieux dans des improvisations et des danses anglo-byzantines intemporelles.


Vidéos






Presse

Hervé Mestron, ResMusica, Juillet 2019

François Joubert-Caillet et son ensemble L’Achéron nous donnent à entendre l’immensité du monde, cette faculté de la musique à traduire l’intemporel et ce qui touche au plus profond de l’âme humaine. Au-delà des mondes, des formes et des croyances, l’essence de la vie se retrouve dans l’architecture des sons que rien ni personne ne pourra jamais effacer. La lyra grecque et la viole de gambe se rencontrent aujourd’hui comme si elles n’étaient qu’un seul et même instrument, l’outil du sacré.
L’austérité élisabéthaine et la nostalgie byzantine ottomane se retrouvent sur l’autel d’une partition écrite où le dialogue permet d’accueillir la voix de l’improvisation comme celle de la transmission. La lyra grecque, sorte de pardessus de viole à l’accent mauresque, a traversé montagnes et mers pour se fondre dans le consort de violes.
L’histoire se raconte sur et à travers la musique de Dowland. La lyra grecque de Sokratis Sinopoulos est invitée à s’exprimer, apportant des merveilles de couleurs et d’intervalles, que le consort de violes accompagne dans une sorte d’immense poème harmonique, où les frontières s’éloignent à mesure que le rapprochement des musiciens se coagule enfin dans une unité parfaite. Un disque lumineux, libre et contemplatif, où la parole perdue ressuscite le mystérieux chemin de la transmission. Lire l'article

Brightly off-coloured, Mai 2019

Joined by L’Achéron and François Joubert-Caillet, and changing up the traditional lute for a Greek lyre, this dungheap bridges a gap between what is past and what art though present. If ’t ev’r gazeth the film Braveheart, and did dug yond soundtrack, thou art going to loveth this wench of an album with all thy heart.

The beauty of this album rests in the amount of space it allows for silence. This album doesn’t tryeth to reacheth thee with epic fucking grandness. Tis speaks to thee on wind. This album t’s joyous. This album t’s lighteth. Thee can picture bunnies, and various joyous Disney animals, fucking like wh’res as this plays. Yet at the heart of each piece sits a deep and sacred woe. This album is an expl’ration in finding beauty in darkest and deepest of teens, in wallowing despair, and in the blackest of hearts. A concept yond hast been ’round f’r a longeth motherfucking timeth. T’s incredible to hark concepts from so long ago that continueth to feeleth as real and the words on this fucking page. Lire l'article


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