Guillaume Coppola
PIANOGranados
Danses espagnoles
Eloquentia, 2012Danzas españolas
1. Galante - Allegro
2. Oriental - Andante
3. Fandango - Energico
4. Villanesca - Allegretto, alla pastorale
5. Andaluza - Andantino, quasi Allegretto
6. Rondalla Aragonesa - Allegretto, poco a poco accelerando
7. Valenciana o Calesera - Allegro airoso
8. Sardana - Assai moderato
9. Romantica - Molto allegro brillante
10. Melancolica - Allegretto
11. Arabesca - Largo a piacer / Andante con moto
12. Bolero - Andante
Allegro de concierto
Press
Jean-Charles Hoffelé, Diapason, juin 2013
Alicia de Larrocha règne quasi sans partage sur la discographie du piano espagnol. On lui adjoint Guillaume Coppola, plus secret, ciselant à la pointe sèche, retrouvant le soleil que dardait del Pueyo.
Michel Le Naour, Cadences, février 2013
On appréciera à sa juste valeur dans le jeu de l'interprète ce mélange de rythmes, de couleurs, cette cambrure de la ligne où l'élégance poétique et le charme immédiat (Andaluza) le disputent à l'amertume du duende (Melancolia) [...] Dans ces oeuvres comme dans le rare Allegro de concert, sa virtuosité toute de lumière envahit l'espace sonore, dans la lignée de la grande Alicia de Larrocha.
Gérard Mannoni, Les entretiens d'Altamusica, 23 janvier 2013
Son premier disque voué à Liszt et son tout dernier enregistrement Granados ont enthousiasmé la critique [...] Guillaume Coppola est un talent authentique. Sa finesse et sa sensibilité très romantiques lui font une place à part dans l’élite du jeune piano français et international. Read the full article
La Marseillaise, décembre 2012
Guillaume Coppola est un formidable jeune pianiste [...] Ses danses espagnoles sont douze joyaux sensibles et sensuels, élégants, mâtinés d'une forme de "Sehnsucht" ibérique dont Coppola tire un nectar sonore, profondément inspiré et musical: un collier multicolore de fandango, d'andaluza, d'arabesca et bolero.
Emmanuelle Giualiani, La Croix, 10 décembre 2012
Son deuxième enregistrement paru il y a quelques semaines déborde de cette clarté bienfaisante et poétique, déjà repérée dans son premier CD - un coup de maître- consacré à Franz Liszt.
Propos recueillis par Florence Mourey, La terre de chez nous, Culture, 7 décembre 2012
L'idée première était de me faire plaisir. Avec le précédent, c'était presque une mission pour moi, je voulais faire mes preuves avec des pièces plus difficiles, un contenu fort. Je n'aurai pas osé faire Granados d'emblée, de peur qu' on ne me prenne pas au sérieux. Là ce sont des pièces plus courtes, plus accessibles, avec une forme de légereté. Je les jouais parfois en cocnert et cela me faisait du bien. Dans une période de crise, de morosité, cela apporte du soleil, de ma bonne humeur. La danse, c'est rythmique et physique. Cela fait partie de la vi comme les battements de coeur. Cela me plait depuis longtemps. L'Allegro de concierto, je l'ai découvert à 14 ans, c'est un véritable bouillonnement. C'est pétillant, cela exprime la joie de vivre, c'est quelque chose d'élancé.
Stéphane Fiédérich, Magazine Pianiste, novembre/décembre 2012
En choisissant les danses espagnoles associées à l'Allegro de concert qui est bien davantage qu'une pièce pour briller, Guillaume Coppola ne choisit pas la facilité. Il relève en effet le défi d'une virtuosité libre et d'une attention méticuleuse à la fois. La mélodie n'a nul besoin d'être siulignée, elle se révèle avec une belle et étonnante simplicité, fluide dans la pureté du dessin, dans une sorte d'urgence gourmande qui lui convient à merveille [...] Voici probablement LA version moderne de ces pièces.
Katchi Sinna, Musikzen, 17 octobre 2012
Dès la première pièce Allegro de Concierto, qui est l’un des opus les plus redoutables du catalogue de Granados, il confirme la technicité et le souffle dont il avait fait montre pour son portrait de Liszt. Il y dépose d’entrée de jeu les arrhes de ce qu’il démontre dans tout l’enregistrement, à savoir sa capacité à rendre le génie proprement pianistique du maître espagnol. C’est une réelle gageure pour ces Danses espagnoles qui s’inspirent de l’instrumentalité des cordes pincées et où l’on pourrait oublier de faire valoir la musicalité propre aux cordes frappées du piano. Read the full article
Martine Dumont-Mergeay, La libre.be, octobre 2012
un CD personnel et sensible, ouvert sur un époustouflant "Allegro de concierto", dont la virtuosité frénétique n’exclut ni la poésie ni le naturel qui caractérisent le jeu de Coppola. Les douze "Danzas" qui suivent, chacune reliée en son style et son climat à une province ibérique, seront autant d’évocations à la fois denses et légères, jouant habilement sur les contrastes, et dont le caractère populaire trouve sous les doigts de Coppola une infinité d’expressions, tour à tour trépidantes, tournoyantes ou paisiblement pastorales.
Jean Lacroix, Revue générale n° 11/12, 2012
Expressivité, verdeur et sensibilité sont ici requises, un éventail de qualités que Coppola possède au plus haut degré. Il arrive aisément à exprimer toutes les nuances, creuse la beauté sonore, dose le drame et la souplesse avec un sens parfait de l’équilibre. Sonorité et technique sont au rendez-vous [...] Coppola réussit l’exploit de ne pas devoir être comparé à Alicia de Larrocha tant son jeu convainc ; il s’affirme bien comme l’un des grands interprètes de notre temps. Un CD prioritaire qui séduira tous les passionnés de grand piano.
BBC Music Magazine, March 2012
Coppola's impressive Liszt recital ranges from the scintillating Rossini-Liszt La danza to the late, enigmatic Bagatelle sans tonalite, with a stunning Funerailles as high point.
Audio
Excerpt of the CD dedicated to Enrique Granados (Label Eloquentia) released in September 2012
Excerpt of the CD dedicated to Enrique Granados (Label Eloquentia) released in September 2012
Excerpt of the CD dedicated to Enrique Granados (Eloquentia Label) released in September 2012
Excerpt of the CD dedicated to Enrique Granados, Danzas Espanolas (Eloquentia Label) released in September 2012