En duo

(...) De la flamboyance de Liszt dont elle est une grande interprète, au mystère de Mozart « capable d’imaginer une musique venant de nulle part, choisissant le jaillissement de la vie en dépit des tempêtes traversées », de la dimension sacrée d’un Jean-Sébastien Bach porté à l’élévation dont elle assure qu’il lui a redonné la vie, aux tourments de Gustav Mahler, Claire-Marie Le Guay admire avec finesse et générosité.