Soleils de septembre
Troisième Livre de Marais : encore un sommet
(…) Au terme des quatre heures, on ne peut qu’accréditer comment François Joubert-Caillet maîtrise en tout point la sonorité : généreuse, plaisante (sans courtiser l’hédonisme), et qui n’encourt ni regret ni lassitude, même si la gourmandise devait vous inviter à tout écouter d’affilée. (…)Le soliste fait son miel de la galerie d’ornements que détaillent les partitions, et surtout les intègre à une respiration fluide, accentuée sans excès. Il se distingue par son raffinement, sa limpidité, la sûreté de la conduite d’archet qui, disque après disque, impose sa voie (…) Read full article