Arts-Scène Diffusion

Les Kapsber'girls

EARLY MUSIC

Maartje Stokkers, deVolkskrant, avril 2025

‘Vox Feminae’, vooral gewijd aan vrouwelijke barokcomponisten, klinkt aanstekelijk en virtuoos (…) 

De twee zangeressen zijn het mooist wanneer ze samen zingen, in Canto di bella bocca van Barbara Strozzi schitteren hun klankkleuren en stromen de virtuoze loopjes expressief. Nu is de naam van Strozzi wellicht nog wel bekend, en klinkt ook haar hartverscheurende Che si può fare, Les Kapsber’girls zetten de deuren naar vrouwelijk repertoire verder open.

Gaëlle Moury, Le Soir, avril 2025

(…) un troisième album consacré exclusivement aux compositrices baroques célèbres ou plus méconnues, avec un formidable équilibre.

Viet-Linh Nguyen, Muse Baroque, avril 2025

Femmes que nos espiègles et brillantes interprètes, femmes également que ce panel de compositrices italiennes (avec un intrus vénitien mais auquel l’ensemble doit son nom), osera t-on qualifier de féminine cette approche doucement vive, souriante et lumineuse, qui invite autant à la poésie et au délassement qu’au déluge des passions ? (…) on saluera un programme qui allie une remarquable homogénéité stylistique, et en enchaînement tonal très bien pensé. (…) la ciselure des articulations, le soin apporté à la prosodie, les ornements bien sentis, un élégance générale de la ligne, une manière de laisser s’épancher le parlar cantando avec poésie et fragilité séduisent. (…) 

De cette incursion raffinée et délicate dans le Seicento, l’on retiendra que les voix de femmes sont parfois aussi belles que sages.

Pierre Gervasoni, Le Monde, avril 2025

(…) Si les respirations instrumentales – principalement déterminées (comme le nom de l’ensemble) par Hieronymus Kapsberger – permettent à Garance Boizot (basse de viole), Pernelle Marzorati (triple harpe) et Albane Imbs (théorbe ou guitare) d’apparaître au premier plan, ce sont bien les voix qui portent la marque des Kapsber’girls. En duo ou en solo. La soprano Alice Duport-Percier, entre autres, dans une déchirante interprétation du célèbre Che si puo fare ?, de Barbara Strozzi, et la mezzo-soprano Axelle Verner dans des prestations toujours habitées, à l’instar de l’émouvant Habbi pièta di mè, d’Antonia Bembo.

Stefanie Bilmayer-Frank, BR Klassik, mars 2025

L'ensemble construit un son tout à fait particulier et unique. Et cela donne envie d'en entendre plus !

Michel Dutrieue, Stretto, mars 2025

Un vrai régal. Chaudement recommandé.

Norbert von Kanarajan, Le Canard Enchaîné, août 2024

Les Kapsber'girls, baroque'n'roll ! (Chansons à voir)

Les Kapsber'girls transforment cette musique d'apparence mineure en véritables petits bijoux. Leur recette ? Des voix expressives et proches du texte, dont les ornements sont à se pâmer (les sopranos Alice Duport-Percier et Gabrielle Varbetian), et des parties instrumentales diablement colorées et vivantes (Albane Imbs au luth et à la guitare, Garance Boizot à la viole de gambe). Ensemble, elles créent des ambiances théâtrales et s'offrent de joyeuses libertés. Les voix prennent des airs canailles, se faisant même nasales ou simplement parlées, et les insturments n'hésitent pas à sortir de leur carcan : les riffs de guitare baroque et les bourdons de viole de gambe auraient de quoi rendre jaloux bien des groupes de funk.

Cécile Glaenzer, ResMusica, août 2024

Les Kapsber'girls font briller les compositrices italiennes du seicento (...) L'accompagnement des cordes pincées est un régal, et c'est souvent en pizzicati que Garance Boizot joue sa basse de viole. Albane Imbs passant du théorbe au tiorbino et à la guitare baroque. Le programme, parfaitement construit, bénéficie d'un art maîtrisé des enchaînements entre pièces instrumentales et vocales. Un bonheur! Full article

Philippe Venturini, Classica *****, février 2022

Ces quatre merveilleuses musiciennes excellent autant dans l’élégie que dans la verve populaire. On admire l’élocution et la justesse exemplaire des deux chanteuses, la délicatesse des deux instrumentistes, l’intelligence dramatique et la sensibilité musicale du quatuor.

Jean Christophe Pucek, Diapason, novembre 2021

Inclinons-nous devant la netteté de l’élocution, la qualité de l’accompagnement comme des pastilles instrumentales.


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