Arts-Scène Diffusion

La Symphonie de Poche

PROJETS ORIGINAUX

Sophie Bourdais, Télérama, avril 2024

La violoniste Deborah Nemtanu et la Symphonie de Poche dansaient déjà ensemble (…) Ils récidivent avec la même imagination, le même plaisir contagieux. (…) Ici l’émotion passe autant par les oreilles que par les pieds : ne vous étonnez pas s’ils tricotent tout seuls pendant votre écoute. Article complet

Tania Bracq, Forumopera.com, août 2023

Robin Melchior et Lucas Henri ont remarquablement arrangés ce répertoire pour l’effectif atypique mais pertinent de la Symphonie de Poche. Les soli attribués aux onze musiciens (en particulier flûte, accordéon et violoncelle) soulignent les raffinements harmoniques et le délicat travail de nuances qui permettent à cette musique de déployer toutes ses couleurs. (…)

Il faut dire que Nicolas Simon est un chef soutenant, impliqué, à l’écoute, qui swingue et danse avec ses musiciens dans un plaisir communicatif. Attaques précises, gestion des contrastes, des équilibres entre les pupitres qui se répondent… Plus de détails

Ouest France, septembre 2022

(…) Qu’à cela ne tienne : la Symphonie de poches, son chef Nicolas Simon et les chanteurs Les Lunaisiens lui ont rendu un hommage bien mérité, absolument lumineux, grâce aux voix magnifiques de Maïlys de Villoutreys, et d’Arnaud Marzorati, ainsi qu’aux arrangements talentueux de Patrice Bréfort. Les compositions et textes de Boris Vian, mis en musique par Alain Goraguer ou Jimmy Walter, ont été soigneusement choisis par les artistes, entre des textes plutôt connus comme La complainte du progrès ou Faut rigoler, mais aussi des pages moins célèbres comme des extraits de son livret d’opéra Fiesta, mis en musique par Darius Milhaud. Un véritable moment de grâce, servi par des interprètes de grand talent. Et les qualités des chanteurs, alliées à des talents de comédiens, ont fait le reste : « Faut rigoler avant que le ciel nous tombe sur la tête » : grâce aux musiciens réunis sur scène, c’est chose faite.

Gérard Pangon, Muzikzen, janvier 2021

(...) Pour donner de la substance à cette "symphonie psychologique " (dixit Robin Melchior) à l'orchestration habile, il fallait une interprétation hors du commun, capable d'apporter de la couleur, du relief, et La Symphonie de poche remplit parfaitement ce rôle. Constituée de douze musiciens autour de son chef et fondateur Nicolas Simon, elle associe accordéon, quintette à cordes, flûte, clarinettes, saxhorn, harpe et marimba, et donne à cet symphonie-hommage à Beethoven un caractère original et totalement réjouissant.

Sophie Bourdais, Télérama, décembre 2020

Quel plaisir de retrouver la Symphonie de Poche, ses douze instruments malicieux et son chef talentueux! Leur relecture des symphonies de Ravel et Lalo avait fait nos délices, et l'on apprécie tout autant leur tentative de synthèse en soixante-quatorze minutes des symphonies de Ludwig Van Beethoven - un défi presque insolent, relevé avec tant de savoir-faire et d'inventivité qu'on ne peut qu'applaudir le résultat.

Alban Deags, Classiquenews

Le rafraîchissant programme édité chez Klarthe emporte l’adhésion par son originalité et le soin apporté à sa réalisation (raffinement de l’écriture en particulier de l’orchestration, assemblage des thèmes et structuration du parcours thématique, interprétation détaillée…) : « Beethoven, Si tu nous entends… » est une surprise inattendue parmi les cd de cette année Beethoven. Le titre est formidable pied de nez à la surdité du Romantique dont la volonté à surmonter son handicap reste le pilier d’un génie jamais détruit. Conçu par le compositeur Robin Melchior, le parcours-hommage d’1h15, enregistré à Malakoff en août 2020, séduit ; c’est une exploration de l’œuvre symphonique du grand Ludwig dont le riche terreau thématique des 9 symphonies est réassemblé, disposé, mis en dialogue (5 séquences principales avec Prélude et 3 interludes) en un enchaînement thématisé qui fait sens et « raconte » l’odyssée symphonique beethovénienne.

Le nouvel assemblage installe une nouvelle texture dont les thématiques (en écho, en résonance) permettent de réécouter ce qui fait la singularité de l’écriture beethovénienne (y dialoguent l’ouverture de la 5è, l’Ode à la Joie, mais aussi la célèbre sonate pour piano « Au clair de lune »…). Revifiée, la pensée musicale de Beethoven s’en trouve comme explicitée : sa fulgurance sonore, sa puissance rythmique, son intelligence mélodique. (…)
Les paysages sonores sont à la fois raffinés, expressifs, habilement agencés.(…) . Au final, une partition originale qui permet de redécouvrir l’infini poétique de Beethoven. Lire l'article complet

Pizzicato.lu, 4 décembre 2020

(...) Nun glaube man nicht, Melchior habe einfach transkribiert, nein, er hat zerschnitten, gemischt, hin und hergeschoben und ein wunderbares Pasticcio, ein musikalisches Puzzle geschaffen, das eine spannende und unterhaltsame und manchmal ironisch-schräge Hommage an Beethoven ist und jeden Kenner der Musik beflügeln wird, die einzelnen Puzzleteile den originalen Werken zuzuordnen. Ich jedenfalls habe mich vorzüglich amüsiert bei diesem Werk, das nicht zuletzt durch die geistreiche Instrumentierung und das tolle Musizieren der solistisch wie symphonisch exzellenten Symphonie de Poche eine hochkarätige Beethoven-Collage geworden ist.
Idee, Aufführung und auch die tontechnisch perfekte Aufnahme verdienen höchste Anerkennung

Charles Arden, Le Festival Métis Plaine, octobre 2020

La richesse de ce voyage est pleinement portée par les instruments et par le chef Nicolas Simon qui joint la parole à la baguette en expliquant d'une manière très didactique et documentée les enjeux de chaque morceau ainsi que leur thématique commune : les Adieux. 

Le Dauphiné Libéré, août 2018

Avec ses 12 musiciens, La Symphonie de Poche est ce qui se fait de mieux en matière d’orchestre en modèle réduit (…) et conserve en effet remarquablement la dynamique d’un grand orchestre.
(…)
Le talent de Deborah Nemtanu a triomphé dans la Symphonie espagnole de Lalo et dans l’extraordinaire Tzigane de Ravel qui s’achève sur un tempo infernal.

L'Echo, Août 2018

Une lumière que l’on retrouve dans le dernier CD qu’elle vient d’enregistrer avec l’ensemble de Nicolas Simon, La Symphonie de Poche. On y découvrira la «Symphonie espagnole» de Lalo dans une version mêlant marimbas et accordéon, ainsi que «Tzigane» et «La Valse» de Ravel enrichies de couleurs inhabituelles.
Une vraie friandise estivale.


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