Arts-Scène Diffusion

Deborah Nemtanu

VIOLIN

Jörg Worat, Hannoversche Allgemeine, décembre 2024

L’Ensemble séduit avec une sonorité d’ensemble aussi suave que distinguée – Deborah Nemtanu envoyant des signaux d’une limpidité absolue depuis son pupitre de premier violon.

Matthias Nöther, Berliner Morgenpost, décembre 2024

Berlin. L’orchestre est dirigé par Deborah Nemtanu depuis son pupitre de premier violon. Avec ses instruments à cordes, elle lance d’instinct chaque nouvelle phrase, car si tous les musiciens de cette formation de chambre peuvent jouer sans chef, ils doivent néanmoins être parfaitement ensemble. (…) Ce doit être ça l’esprit français dont tout le monde parle.

Christoph Guddorf, Neue Westfälische - Bielefelder Tageblatt, décembre 2024

Sous la direction inspirée de Deborah Nemtanu (…)

Élisabeth Richter, Hamburger Abendblatt, décembre 2024

Pour commencer, un solo joué avec orchestre, la Symphonie parisienne de Mozart, servie avec fraîcheur et rythme affûté par l’Orchestre de chambre de Paris que Deborah Nemtanu dirige vigoureusement depuis son pupitre de premier violon.

Lars Wallerang, Rheinische Post, décembre 2024

La violoniste Deborah Nemtanu a dirigé l’orchestre de chambre au titre de premier violon, assise sur un tabouret de piano juché sur une estrade d’où elle menait véritablement tout son monde à la baguette. Empreinte à la fois de vigueur et de fraîcheur, cette page de Mozart a sonné comme une bourrasque. Mais le jeu et la technique éblouissante des musiciens ont révélé une interprétation tout à la fois lumineuse et audacieuse.

Sud Ouest, mai 2024

Son vibrato sensuel renforce l'expressivité, son sang roumain bouillonne dans la Rhapsodie n°1 de Bartók, la nostalgie du pays de ses ancêtres habite la «Balada» de Porumbescu, elle déploie sa virtuosité étincelante dans les «Airs bohémiens» de Sarasate et «Tzigane» de Ravel retrouve son caractère d'improvisation. Elle est accompagnée par La Symphonie de poche, orchestre de 12 musiciens dirigé par Nicolas Simon, dont les timbres contrastés (accordéon, marimba, clarinette basse... et même voix) redonnent des couleurs éclatantes aux fameuses danses hongroises de Brahms et slaves de Dvorak, dans des arrangements raffinés.

Rémy Louis, Diapason, Janvier 2023

(…) saluons la vivacité et la présence usuelle du premier violon, Deborah Nemtanu, doublement exposée par des parties virtuoses. More details

Jean-Michel Molkhou, Pianiste, Janvier 2023

(…) une mention particulière revenant aux très exigeants solos de la violoniste Deborah Nemtanu et du violoncelliste Benoit Grenet. Belle réussite. More details

Eleonore Carbajo, Toute La Culture, Janvier 2023

(…) A la direction, Thomas Dausgaard mène l’orchestre d’une main de maitre, solidement épaulé par Deborah Nemtanu au premier violon. (…)
Difficile de ne pas être happé par la prestance de Deborah Nemtanu au premier violon qui semble tout aussi habitée par son propre jeu que par celui de l’orchestre qui lui répond. More details

Michel Debiard, Sud Ouest, Mars 2019

Samedi, ils ont rempli la salle du stade Henri Cavallier pour écouter le duo formé de Deborah Nemtanu et Romain Descharmes, jeunes prodiges déjà considérés comme des "monstres sacrés ». (…)
Les auditeurs peuvent témoigner de la totale complicité des deux partenaires sachant jouer à merveille de l'opposition, et de la complémentarité, des sonorités avec une intensité et une vigueur merveilleusement contrôlées pour, magie de la musique, faire naître des paysages enchanteurs et des sentiments d'une délicatesse infinie.


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