Trio Talweg
PIANO TRIO- juillet 2024
- lyrica-massilia, mai 2023
- ResMusica, octobre 2022
- SudOuest.fr, juin 2021
- Anaclase.com
- Classica, mars 2021
- Diapason, mars 2021
- Classique c'est cool!, février 2021
- ResMusica, février 2021
- Pizzicato.lu, février 2021
- Muzikzen, janvier 2021
- L'Alsace, Mai 2019
- Musikzen, Mars 2019
- ResMusica, Février 2019
- Diapason, Mars 2019
- **** Classica, Janvier 2019
- Concerto Net, Janvier 2019
- Sud Ouest, Décembre 2018
- Pizzicato, Décembre 2018
- UtmiSol, Novembre 2018
- France Musique, Novembre 2018
- Altamusica, Juillet 2018
- Le Télégramme, 24 janvier 2018
- Paris Normandie, 11 juillet 2017
- mai 2016
- Zibeline, mars 2016
- Le Dauphiné Libéré, 14 janvier 2016
- Nice Matin, 11 août 2015
- La Nouvelle république du Centre, juin 2015
- Kerk en Leven, Maart 2015
- Classica, novembre 2014
- L'Echo, 12 août 2014
- Mad.lesoir.be, 30 juillet 2014
- Diapason, juin 2014
- La revue générale, 1er juillet 2014
- Diapasoncd.com, juin 2014
- Klara, mai 2014
- Valeurs actuelles, 20 mai 2014
- Qobuz, mai 2014
- France Musique, mai 2014
- La libre Belgique, 23 avril 2014
- Clermontherault blogs midilibre.com, 28 mars 2013
- La libre Belgique, 16 janvier 2013
- RTBF, 12 octobre 2012
- La dépêche, 27 juillet 2011
- Blog de la salle Molière, mars 2011
- Sud Ouest, 10 mars 2010
- Diapason, février 2009
- Arte TV, février 2009
- concertonet.com, janvier 2009
- RCF, décembre 2008
- février 2008
Bertrand Bolognesi, Anaclase.com
Sébastien Surel sert-il ici une version tendre qui, pour respecter le romantique intrinsèque de la pièce, s’affranchit des adieux, des regrets et autre quête vouée à l’échec que la voix porterait. Au couple violon/violoncelle d’alors magnifier leur entrelacs lyrique, à l’invite de l’archet d’Éric-Maria Couturier, initiateur d’un duo qui dès lors s’impose vocal. On goûte la sobre élégance de cette lecture équilibrée (...) Passé un Scherzo plein d’esprit que les Talweg se gardent bien d’alourdir ou de trop laborieusement dessiner, doté d’un trio central dont la fausse simplicité tient de l’exquis raffinement, la faconde heureuse du Rondo convainc de tous ses reliefs. Le plaisir est grand à découvrir cette captation réalisée à l’Arsenal de Metz – bravo !