Le disque est "recommandé par France Musique"
"Bach connaissait fort bien les oeuvres de Couperin, il les tenait en réelle estime [...] pensant qu'on pouvait y puiser un style d'execution riche et fleuri" (Forkel, 1902)
Dans ce récital, Jean Luc Ho met en regard les dernières pages à la française de Bach et le Huitième Ordre, l'un des plus grands moments de l'oeuvre de François Couperin. Le choix de les interpréter avec l'art de toucher français que l'un théorise, que l'autre admire et adopte permet de souligner les parentés de ces deux chefs-d'oeuvres quasi contemporains de la littérature de clavecin.