Arts-Scène Diffusion

Pascal Amoyel

PIANO

Olivier Greif

Sonate de Requiem

Harmonia Mundi, 2013

Emmanuelle Bertrand, violoncelle
Pascal Amoyel, piano
Antje Weithaas, violon



"Je n'ai jamais autant composé de ma vie. Si je m'interroge pour découvrir les raisons de cette profusion, je comprends que c'est parce que je n'ai rien d'autre dans la vie que ma musique. Si je cesse de composer, je meurs", notait Olivier Greif en mettant un point final à son Trio en 1998. Ce disque présente deux œuvres bouleversantes d’un vrai citoyen du monde, indifférent aux affrontements esthétiques qui ont marqué les cinquante années de sa vie. 1950-2000 : entre ces deux dates, “un parcours complexe d’ombre et de lumière où espoir et désespoir se nouent comme deux lianes issues d’une même souche” (Brigitte François-Sappey).

Ce titre est paru pour la première fois en 2006.

 

GRIEF, Olivier (1950-2000)
Sonate de Requiem op.283 pour violoncelle et piano (1979-1993) 
Trio pour piano, violon et violoncelle (1998)


Presse

BBC Music Magazine, September 2013

Superbly committed playing ****

Le Monde, 2013

Le violoncelle pur et passionné d’Emmanuelle Bertrand, le violon délié d’Antje Weithaas, le piano profond de Pascal Amoyel livrent ici une évidence, celle d’une œuvre avec laquelle l’histoire de la musique se doit désormais de compter.

Classics Today, 2006

[...] cette Sonate de Requiem, sonnant comme un chant de l'au-delà, chant que Greif voit comme une "méditation sur la mort", musique qui se souvient, par bribes de ce qu'était le monde, à travers d'autres sons. Le sens des fulgurances des cordes, les mondes sonores créés par Pascal Amoyel sont autant de miracles au service d'une grande musique, déchirée et déchirante.

ACTUALITÉ

Le pianiste aux 50 doigts

Pascal Amoyel retrouve la saison Musée en Musique à Grenoble ce jeudi 20 février à 19h30 pour y donner cette…

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Pascal Amoyel retrouve la saison Musée en Musique à Grenoble ce jeudi 20 février à 19h30 pour y donner cette fois « Le pianiste aux 50 doigts » : 
Véritable révélation dans le monde du spectacle vivant, Le pianiste aux 50 doigts rencontre un succès critique et public toujours grandissant depuis sa création au Festival de la Chaise-Dieu en 2010.

Complet durant six mois au Théâtre le Ranelagh (2011 et 2014) et au Festival d’Avignon (2012 et 2015) le spectacle a été joué devant plus de 50000 spectateurs en Europe, Corée et Canada.

Ce spectacle nous invite dans la loge de Pascal Amoyel, juste avant son entrée en scène. Il déballe ses partitions, retrouve une enveloppe adressée au n°16 de la rue Ampère, où Cziffra et Amoyel se succédèrent. Alternent ensuite pièces du répertoire, piano préparé, improvisations, scie musicale, voix parlée avec ou sans musique… L’interprète qui débute le spectacle dans son propre rôle, se glisse dans la peau de György Cziffra, replonge dans sa première rencontre avec le Maître à l’âge de 13 ans et entraîne le spectateur dans la vie incroyable de ce légendaire pianiste hongrois. Pascal Amoyel, « actuellement considéré comme l’un de ses héritiers spirituels », a compté parmi les rares élèves de Cziffra. Il lui rend ici un vibrant hommage. 

TEASER


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