Emmanuelle Bertrand & Pascal Amoyel
VIOLONCELLE ET PIANO- Classica, novembre 2024
- lyrica-massilia, avril 2024
- Télérama, octobre 2023
- Wanderer, Mars 2023
- ResMusica, Août 2022
- Le Monde, Septembre 2021
- Diapason, Septembre 2021
- Classica, Septembre 2021
- L'OBS, Août 2021
- La Nouvelle République, Juin 2021
- Var Matin, Avril 2019
- Le Devoir, Mars 2019
- Septembre 2018
- Le Devoir, Juillet 2018
- Waterford News and Star, 18 April 2017
- The Sunday Independent, 19 March 2017
- Wunderkammern, 12 mars 2017
- Music Network, 25 November 2016
- Le progrès, 3 juillet 2016
- Le Figaro, 28 mai 2015
- Artamag, mai 2015
- All Music, May 2015
- The Classical Reviewer, February 2015
- The Guardian, February 2015
- MusicWeb International, September 2014
- Le Monde, 2013
- The Strad, July 2013
- Gramophone Magazine, June 2013
- BBC Music Magazine, May 2013
- Classica, 2013
- Classica, Octobre 2011
- ResMusica, 2011
- The Strad, 2008
- Strad Magazine, 2008
- The Strad, February 2004
- The Observer, 8 January 2004
- The Irish Times, 8 January 2004
- Diapason, 2003
- Diapason, 2001
Christophe Huss, Le Devoir, Mars 2019
Emmanuelle Bertrand et Pascal Amoyel ont démontré à quel point on peut constituer un récital passionnant autour d’oeuvres rares. (…)
Les voir célébrées par Emmanuelle Bertrand et Pascal Amoyel est une aubaine. La violoncelliste possède un son d’une puissance et d’une épaisseur dans le médium et le grave que beaucoup de solistes peuvent lui envier.
À l’opposé, son interprétation du volet central de Duparc, qu’elle susurrait quasiment sur un filet de son, était un bijou. Quant à Pascal Amoyel, si notre attention n’était pas si accaparée par son épouse violoncelliste, on n’écouterait que lui, avec son autorité (Saint-Saëns) et ses merveilleuses inflexions dynamiques (3e mouvement d’Onslow). Son seul moment moins impérial fut le finalede Duparc. Lire l'article
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