Les prochaines actualités de la pianiste Fanny Azzuro
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(...) Dès l’ouverture avec le célèbre Prélude n°2 en ut dièse mineur opus 23, Fanny Azzuro donne ainsi le ton : elle ne joue pas sur la densité ou le caractère dramatique mais cherche à aller au delà, à atteindre la mélancolie à travers la mélodie, comme pour esquisser une réponse à la question de Dostoïevski dans L’Idiot : « Quelle beauté sauvera le monde ? » Tout au long de l'album, son interprétation très personnelle, délicate et sensible est de la même veine. Poétique ou impétueuse, elle est d’un lyrisme touchant. Plus de détails