La Provence, avril 2024
Grande, solaire, Gaëlle Solal envahit la scène de sa présence. Sa veste à sequins, qui brille de mille feux sous les projecteurs, envoie des faisceaux de lumière sur le visage des écoliers qui l'écoutent religieusement. Après une petite présentation des instruments à cordes, ancêtres de la guitare (comme la Vihuela à cinq cordes, popularisée dans la péninsule ibérique au XVIe siècle), l'artiste fait vibrer les cordes de sa guitare classique. Elle reprend un morceau de Gaspar Sanz, compositeur espagnol du XVIIe siècle initialement joué avec une guitare baroque. La ballade est agréable et légère, aérienne. Article complet