Arts-Scène Diffusion

L'Achéron

MUSIQUE ANCIENNE

Jean-Luc Macia, Diapason, décembre 2016

 Des phrasés aérés et le babil des flûtes à bec (voire un piccolo) ne masquent ni la mélancolie (Air de l’Ouverture en sol majeur) ni la tendresse (Air de la mi mineur). Et quels raffinements dans Les Plaisirs! Pouvons-nous entendre plus « français » que ce Rigaudon ou cet autre Rondeau? Les mouvements concis respirent large, dans cet espace à mi-chemin entre la musique de chambre -l’ancrage de L’acheron, auquel on doit notamment un fabuleux disque Scheidt salué l’an dernier par un Diapason d’Or) et l’orchestre. L’exercice de la danse devient avec François Joubert-Caillet un jeu de séduction instrumentale où chacun brille à tour de rôle, à commencer par la soliste (Marie Rouquié?) de l’Ouverture en sol mineur.

ACTUALITÉ

Bach au bandonéon

Dans le cadre du festival Les Musicales de Normandie, l'Achéron jouera le programme Orgelbüchlein ce dimanche 27 juillet à 16h00 au sein…

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Dans le cadre du festival Les Musicales de Normandie, l'Achéron jouera le programme Orgelbüchlein ce dimanche 27 juillet à 16h00 au sein de l'église de Val-de-Saâne (76)!

Dans ce programme dédié à l’Orgelbüchlein de Bach, le bandonéon retrouve ses racines sacrées aux côtés de la voix et de la viole de gambe.

Né au XIXᵉ siècle pour remplacer l’orgue dans les églises modestes, le bandonéon offre ici une lecture intime et singulière des chorals de Bach. Porté par Jean-Baptiste Henry au bandonéon, Aurore Bucher (soprano) et François Joubert-Caillet à la viole de gambe et à la direction, ce trio propose un dialogue inattendu et profondément expressif entre tradition et timbres inédits.

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