Arts-Scène Diffusion

Ma P'tite Chanson

PROJETS ORIGINAUX

Moisés Ordóñez Alarcón, classykeo.com

Agathe: (...) sa technique ne demande qu’à percer au grand jour, avec ce timbre clair et son vibrato naturel, accompagné d’un phrasé délicat pour un chant nuancé. Mais lorsqu’elle monte dans les aigus, c’est le jour et la nuit : son timbre lyrique revenant éblouir l’auditoire de sa matière ensoleillée.
Pierre: (...)  La finesse et l’émotion de son interprétation font fondre le public comme la neige au soleil. Il ajoute également son grain de sel avec des interventions chantées pour enrichir le son et le contraste du duo, avec un timbre plus sombre.

 

Yvan Beuvard, Forum Opera, 26 aout 2023

Duo insolite, pour d’improbables musiques, toutes également séduisantes : Agathe Peyrat, soprano de culture classique, au large ambitus et à la diction exemplaire, aux couleurs adaptées à chaque pièce, jouant (fort bien) de l’ukulele, s’est associée à Pierre Cussac, dont la maîtrise de l’accordéon de concert est exemplaire. De surcroît, les interventions vocales de ce dernier ajoutent encore à la palette. (...) l’intelligence des interprétations force l’admiration. Le clou du spectacle : un Boléro de Ravel où les voix, l’ukulele en guise de caisse claire, et un accordéon magistral, restituent l’incroyable progression, avec sa modulation attendue et son délire sonore. Un exploit, où l’humour le dispute à la tendresse.

Jean-Luc Clairet, ResMusica, Mai 2023

Après l’accroche opératique de quelques mots posés en italien sur la grille d’accords de When I’m 64, Agathe Peyrat met sous le boisseau sa voix de chanteuse lyrique afin de parer de la grâce idoine les affects des tubes élus, captivant même de sa voix parlée pour introduire Eleanor Rigby et The Fool on the Hill. L’homme-orchestre (et siffleur à l’occasion) qui lui sert d’écrin dote chacune des célèbres compositions, revisitées avec un talent d’orfèvre, d’une dramaturgie propre. A-t-on entendu un accordéon aussi expérimenteur, aussi inventif, aussi intelligent ? (…) L’accordéon entre alors en majesté pour décrire puissamment le « monde tournant en rond » évoqué par les mots de Lennon et McCartney. Ce sommet symphoniste n’entachera nullement la modestie de l’accordéon qui cédera plus loin sa place au kalimba sur un Hey Jude d’un dépouillement étreignant.  Plus de détails

Jean-Luc Clairet, ResMusica, Mai 2023

"Agathe Peyrat et Pierre Cussac offrent de Je crois entendre encore des Pêcheurs de perles, une interprétation suffocante d’émotion." Plus de détails


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