Pascal Moraguès
CLARINETTE- Diapason, Mai 2022
- Classica, Mai 2021
- Crescendo Magazine, 31 Mars 2021
- Classiquenews.com, Février 2021
- pizzicato.lu, Février 2021
- Diapason, Février 2021
- Classica, Novembre 2019
- Bachtrack, Août 2019
- Le Dauphiné Libéré, Juin 2019
- Utmisol, Mars 2019
- Classica, Mars 2019
- La Montagne, Janvier 2019
- Pizzicato, Décembre 2018
- La Croix, Décembre 2018
- Culture31, 17 février 2017
- Classiquenews, 7 février 2017
- ClassicToulouse, 2 février 2017
- Bachtrack, 29 August 2016
- The arts desk, 24 May 2016
- Sudouest.fr, 12 août 2015
- L'Alsace-Colmar, juillet 2015
- Colmar-Culture, juillet 2015
- Diapason, août 2014
- La note bleue
- Au coeur de l'orchestre, août 2014
- Le Monde de la Musique, août 2014
- L'Express, 22 avril 2013
- De Telegraf, 2 août 2011
- Volkskrant, 1er août 2011
- Le monde la musique, été 2001
- Le Temps, 10 février 2011
- webenlog.blogspot.com, janvier 2009
- Altamusica.com, 2006
- chronicart.com, 1er janvier 2000
- Le Monde, 26 avril 1990
Classiquenews.com, Février 2021
(…) Séduisant, urbain, le Trio pour piano, clarinette et violoncelle opus 11 (1798) est le moins connu, car la clarinette est souvent remplacée par le violon (option autorisée par Beethoven lui-même) – Pascal Moraguès, partenaire familier du pianiste Filipe Pinto-Ribeiro, en éclaire toute la brillance fraternelle et tendre du timbre. L’instrument à vent faisant alliance avec les cordes avec acuité et relief, évoquant par cette éloquence franche et cuivrée, la qualité des conversations et des amitiés de la bonne société viennoise (…) La complicité gourmande et précise des trois instrumentistes souligne combien le génie créatif de Ludwig peut remodeler sa source lyrique ; le geste est à la fois souple et contrasté, volubile même, fruit d’une évidente complicité entre les instrumentistes réunis. (…)
Sobriété, évitant l’emphase si facile, et plutôt suggestion et élégance que vivacité creuse, les 3 instruments rivalisent de souplesse, d’intimité tendre (beau chant de la clarinette dans l’Adagio cantabile), de jeu brillant. Véloces voire volubiles, les 3 instrumentistes savent déceler sous le brio des 6 séquences ainsi contrastées la liberté d’un Beethoven qui semble se jouer de tout, facétieux et presque imprévu dans élégance et virtuosité, expert dans l’art de faire parler et chanter chaque instrument. Lire l'article complet