Quatuor Ardeo
QUATUOR À CORDES- La Montagne, août 2024
- ResMusica, Août 2023
- Le Dauphiné, Mars 2023
- La dépêche, Janvier 2023
- Neue Musik Zeitung, janvier 2021
- Classica, décembre 2020
- Klassikfavori.de, 30 novembre 2020
- Les disques classiques et lyriques de l'automne 2020- Octobre 2020
- Süddeutsche Zeitung, Septembre 2020
- Concertonet.com, Septembre 2020
- Le Monde, Septembre 2020
- Classiquenews.com, Septembre 2020
- Musique classique & Co, Septembre 2020
- Pizzicato, Septembre 2020
- gang-flow.com, Août 2020
- Classiquenews.com, Août 2020
- Schwäbische Zeitung, Septembre 2018
- Revista RITMO, Septembre 2018
- Weserkurier Bremen, Août 2018
- Août 2018
- ResMusica, Août 2018
- France Musique, Août 2018
- VPRO, Juillet 2018
- Musikzen, Juillet 2018
- Platea Magazine, juillet 2018
- Qobuz, 25 juin 2018
- ResMusica, 6 juin 2018
- Toute la Culture, Mai 2018
- Le Salon Musical, 23 septembre 2017
- Zibeline, février 2017
- Destimed, 1er février 2017
- Sud ouest, 5 juillet 2016
- Les chroniques de Sylviane Falcinelli, avril 2015
- La lettre du musicien, 25 novembre 2014
- classiquenews.com, 14 novembre 2014
- La dépêche.fr, 8 avril 2013
- La Croix, 2 mai 2012
- classiquenews.com, 15 avril 2012
Benedict Hévry, ResMusica, Août 2018
Le Quatuor Ardeo transcende les Variations Goldberg transcrites par François Meïmoun.
Le Quatuor Ardeo nous gratifie d’un somptueux et exigeant programme. En parfaite connaissance du tempérament de ses interprètes, François Meïmoun confie la voix principale des plus austères variations, en mode mineur, au second violon plus éploré de Carole Petitdemange, alors que les plus exubérantes sont souvent dédiées au volubile premier pupitre tenu par Mi-Sa Yang. Avec un quasi non-vibrato délibéré presque spartiate mais de rigueur, la sonorité du quatuor se rapproche presque de celle d’un consort de violes pour une interprétation sublime, magnifiant paradoxalement par son analyse infinitésimale l’œuvre de synthèse du cantor perçue au travers de notre prisme contemporain. Aux techniques d’écriture polyphonique archaïsantes répondent la pulsation et le rebond rythmique dans le parfait esprit de la danse. Après ce parcours poétique quasi initiatique, triomphalement accueilli, les quatre musiciennes nous gratifient après l’entracte d’une tout aussi magnifique version de l’ultime quatuor de Beethoven, cet opus 135, (…) À n’en pas douter un très grand concert de quatuor à cordes ! Lire l'article complet