Blog de la salle Molière, mars 2011
Ce qui frappe [...] c’est une franche pugnacité alternant avec la mise en exergue de sonorités opulentes et chaleureuses. Indéniablement, cet ensemble en plein essor possède du caractère ! [...] rien n’est lourd et les Talweg le comprennent qui, après l’épaisseur naturelle du 1er mouvement, restituent l’ensoleillé scherzo sous l’angle de la parenté avec Saint-Saëns [...] C’est dans le finale que le violoniste Sébastien Surel s’affirme comme un véritable Konzertmeister [...] Le Trio Talweg dispose d’une palette étonnante. Sa propension à traduire les intentions des compositeurs est stupéfiante. A ce titre, la délicate interprétation de l’Adagio du 1er Trio en ré mineur Opus 49 de Félix Mendelssohn – délivrée en bis – prouve que l’on n’est pas au bout de nos surprises avec ces talentueux artistes. Lire l'article complet