Peu de gens savent qu’il y avait à Auschwitz un orchestre de femmes et un orchestre d’hommes…
L’exigence des chefs d’orchestre et la discipline musicale digne de l’Orchestre Philharmonique de Vienne empêchèrent les musiciens et musiciennes de sombrer dans la folie et les aidèrent à surmonter l’horreur, leur offrant une sorte de « havre de paix ».
D'après les témoignages de deux musiciens (Anita Lasker-Wallfisch qui et Simon Laks), littéralement sauvés par la musique, nous interrogeant sur la capacité de l’être humain d’être un moment ému aux larmes par une mélodie et l’instant suivant de commettre les pires crimes, Emmanuelle Bertrand & Pascal Amoyel nous font revivre cette expérience incroyable, en nous délivrant un message rayonnant d’espoir.
Ce week-end, le pianiste Pascal Amoyel jonglera avec ses spectacles « Le pianiste aux 50 doigts » d’une part et « Le jour où j’ai rencontré Franz Liszt » d’autre part, faisant le grand écart entre la Suisse et la région parisienne!
D'abord ce vendredi 28 mars au Théâtre Luxembourg de Meaux (77) à 20h30, puis le dimanche 30 au Château de Coppet à 17h00.