Écrit par Pascal Amoyel (piano & comédie)
Christian Fromont, mise en scène
Philippe Séon, création lumières
Avec le soutien de la Spedidam et de l’Adami
Pascal Amoyel mène une enquête palpitante et décode le chef-d’oeuvre absolu du piano, les 32 Sonates, véritable journal d’une vie. Servi par un pianiste de renommée internationale, récompensé par une Victoire de la Musique, ce spectacle révèle le visage secret de l’homme. Ou comment, alors que la vie lui refusait la joie, Beethoven la créa lui-même dans sa musique pour en faire don à l’humanité...
Entendrez-vous Beethoven de la même manière ? Grande musique pour tous !
NOTE D'INTENTION
Le jour qui a changé ma vie n’était pas un jour mais un soir. C’était dans un parc, j’avais 20 ans. L'atmosphère était sereine, propice à la tranquillité.
Soudain, j’entendis résonner une musique qui me semblait venir d'un autre monde. Cela faisait des années que j'étudiais le piano, pourtant je ne la connaissais pas. Elle était d'une douceur quasi irréelle, comme condensant toute la destinée humaine.
Je rentrai chez moi et fouillai dans mes partitions. Je fus alors pris d'un vertige: c’était du Beethoven... Beethoven? Impossible, je n’aimais pas vraiment Beethoven! Pour moi, sa musique était un peu trop "sauvage", comme décousue avec des accès de fureur qui ne laissait pas assez de place pour le rêve, pour la paix.
Et pourtant, en ces quelques secondes m’était apparu un univers auquel je n’avais jamais eu accès auparavant... Mais alors pourquoi?
Lorsque j’étais étudiant au Conservatoire de Paris, Beethoven était considéré comme un dieu fait homme. Avant de poser un doigt sur une touche et d’oser jouer sa musique il nous était vivement recommandé une longue liste de précautions voire d’interdits. Et la phrase qui revenait le plus était: "voyons, on ne joue pas les dernières sonates de Beethovenavant d’avoir au moins 50 ans!". Je me souviens que, la peur au ventre, j'entrais dans les classes de maître avec le sentiment de ne pas être à ma place...
Or qu’avais-je entendu dans ce parc? Tout le contraire: une musique fragile, tendre, profondément humaine, qui ne s’était adressée qu’à moi et à moi seul!
Me vint alors une question: la musique de Beethoventordant le cou à toutes les conventions de son époque. Ne devais-je pas moi-même commencer par faire fi des préjugés de la mienne ?
Un jour, je rassemblais sur mon piano ses 32 Sonates, véritables sonates-confessions dans lesquelles Beethoven indiqua y avoir déposé toute sa vie. Ce ne fut alors pas seulement sa vie qui y surgit, mais l’univers tout entier...
On pouvait à la fois y suivre tous les âges de l’Homme avec ses doutes, ses certitudes, ses espoirs, ses aspirations, mais aussi jusqu’à la description de la naissance du cosmos!
J’y découvris un être léger, triste, calme, colérique, si loin de l’image figée qu’on m’en avait fait. Surtout, chose impensable, les peines que je ressentais à titre personnel se trouvaient dépassées, comme transcendées à chacune de mes écoutes par une sorte de transmission de la joie.
Une Joie musicale qui semblait vouloir terrasser un destin tragique: un petit garçon battu tous les jours par un père ivrogne, un adolescent déçu en amour par des jeunes filles qui se moquent de sa laideur; un jeune homme seul dans un appartement sale habillé en peau de chèvre tel Robinson Crusoé, criant des musiques dans la rue et mis en prison pour vagabondage.
Et puis aussi l’homme, sourd, voyant mal, continuellement malade...
Et pourtant, sa musique, universellement célébrée, dévoile un homme méconnu qui voulait par son œuvre tracer une Voie pour l’Humanité.
Pascal Amoyel
Programme musical :
BACH Aria des Variations Goldberg, BWV988
MOZART Fantaisie en ré mineur (extrait)
SCHUBERT Impromptu n°3, op. 90
BEETHOVEN
Sonates (extraits), op. 2/1, op. 2/2, op. 2/3, op. 7, op. 10/1, op. 10/2, op.14 (2e mouvement), op. 27/1, op. 27/2 « Clair de lune » (1er et 3e mouvement), op. 31/2 « La Tempête », op. 57 « Appassionata », op. 81a « Les Adieux », op. 101, op. 106 « Hammerklavier », op. 109, op. 110, op. 111
Nous vous proposons trois formules pour ce programme. Parce que chaque lieu est unique, nous adaptons les conditions techniques en fonction de vos possibilités:
- Looking for Beethoven - seul en scène musical
version théâtre, avec mise en scène, lumières. Le spectacle voyage avec son régisseur dans sa version complète.
- Looking for Beethoven - seul en scène musical
version concert, avec mise en espace et lumières en plan fixe.
- Ode à la joie! Le récital Beethoven
Pascal Amoyel nous offre une relecture étonnante des pages les plus célèbres du compositeur à travers trois de ses grandes Sonates. Un voyage initiatique qui célèbre ce géant de la musique, à la fois visionnaire et révolutionnaire, à jamais moderne et intemporel
Sonate au Clair de lune, op. 27 n°2
Sonate pathétique, op. 13
Sonate appassionata, op. 53
François Clairant, Journal Sud-Ouest, Septembre 2021
(…) À chacun, musicien ou néophyte, il montre de façon lumineuse comment on peut voyager à travers l’oeuvre de Beethoven jusqu’aux profondeurs de son âme. Même quand il ne joue que quelques mesures d’un mouvement, il en exprime immédiatement le caractère profond.
Même quand il parle en même temps, on ne perd rien du message musical. On passe ainsi de la jubilation des premières sonates au désespoir de l’Opus 10 n°3, avec les premières atteintes de al surdité, jusqu’à l’identification à Prométhée: « il crée lui-même la joie pour la donner au monde ». Cette leçon de la vie a emporté l’enthousiasme unanime du public.
Yvan Bernaer, La nouvelle République- Octobre 2020
(...)Pascal Amoyel sonne juste. Autant sur un clavier que sur les planches.(...)Nous assistons, sonate après sonate, au chemin de croix de l'artiste. Pascal Amoyel ne distingue pas l'homme de sa musique. Ils sont inextricables. Le piano et sa voix se mèlent, se complètent, se répondent. On entre dans le crâne du créateur. (...)
Pierre- Oivier Febvret, La Montagne- Octobre 2020
(...)Le spectacle Looking for Beethoven est tellement plus qu’un portrait du génial compositeur. C’est une des vérités sur un être complexe. Celle que Pascal Amoyel a cherché, tracée, subie ; et lui permet de vivre sincèrement, sa musique. Et l’on comprend ainsi que le véritable interprète partage plus que les notes, la pensée même de leur auteur. (...) Ceux qui estiment que ce spectacle « parle » trop, doivent alors songer à l’envie de musique qu’il suscite. De l’entendre mieux. Peut-être même de la comprendre. Et Beethoven avec elle.(...)
Serge Chauzy, ClassicToulouse, Septembre 2020
(...) L’originalité de cet étrange dialogue, mis en scène par Christian Fromont (…) réside dans l’intimité qui se crée subtilement entre paroles et musique. Saluons tout d’abord l’incroyable mimétisme qui se produit immédiatement entre l’acteur Pascal Amoyel et Beethoven lui-même, ou tout au moins l’idée que l’on se fait physiquement du compositeur. Le spectacle se déroule comme une enquête sur les liens étroits que la vie dramatique de Beethoven a tissés avec sa musique. Le texte s’incarne dans la musique et la musique suscite le texte. (...)
Dauphiné Libéré, Février 2020
Liant ferveur et tendresse, envolées de notes et mots choisis, le conteur musicien dessine un portrait sensible, préciis et intime de "son" Ludwig van Beethoven. Dépassant la simple perfection pianistique, Pascal Amoyel, tout en nuances et émotions, dévoile le carnet de vie d'un homme malmené, notamment par une surdité précoce, colérique, associal, mais aussi visionnaire et humaniste. Et rend un hommage sincère et généreux à un compositeur qui voulait créer de la joie pour la faire partager aux hommes. Ce soir-là, l'admiration débordante de Pascal Amoyel pour Beethoven était perceptible et contagieuse.
Anne-Laure Filhol, La Vie, Décembre 2019
Beethoven vu, perçu, entendu de l'intérieur. C'est le pari réussi de ce spectacle mené avec brio par le pianiste aux nombreuses distinctions Pascal Amoyel. Talentueux conteur, il entrelace avec délicatesse les mots et notes à partir des 32 sonates du Maître de Bonn (...)
On en ressort secoué, bouleversé, avec la douce sensation de s'être un peu (r)approché d'un génie en proie à ses propres démons, à la fragilité transcendente.
Thierry Hillériteau, Le Figaro, Novembre 2019
Cette surdité, Amoyel réussit, en véritable prestidigitateur, une main sur le clavier et l'autre dans le ventre de son instrument, à nous la faire "entendre". Ce n'est pas son seul tour de force. Réciter un texte tout en jouant du piano n'est en rien un exercice naturel. L'interprète confirme son sens de l'harmonie parfaite entre le mot et la note. Dans le rhytme de sa prosodie ou l'intonation de sa voix, celle-ci épouse toujours idéalement la musique sur laquelle elle se pose. Comme s'il en avait pleinement saisi l'essence.
Bruno-Stéphane Chambon, Politique Magazine, Novembre 2019
Au cours de son monologue, Pascal Amoyel se jette sur son piano tel un taureau se lançant dans l'arène, avec des phases musicales brutales alternant avec des mélodies d'une douceur désarmante. Grâce aux variations de son toucher, l'artiste peut se permettre de scander ce texte bouleversant. De par l'expérience d'une vie tragique et solitaire, Beethoven rejoint l'Universel. Cette soirée exceptionnelle réunit un génie de la musique et un de ses grands serviteurs.
Sophie Bourdais, Télérama, Octobre 2019
Entre les mouvements de quelques sonates emblématiques, qu'il joue remarquablement, Pascal Amoyel retrace avec fougue l'enfance malmenée de Beethoven, sa surdité précoce (qui gâchera sa vie sociale), ses amours déçues, son caractère atrabilaire, mais aussi l'homme visionnaire, généreux, humaniste. Il rappelle surtout cette aspiration à la joie, qui ne cessera de déborder de sa musique à défaut d'être personnellement vécue. Pour sa force vitale encore plus que pour son génie, Pascal Amoyel aime Beethoven, d'un amour débordant, sincère. Infiniment contagieux.
François Delétraz, Le Figaro, Octobre 2019
Après Petite histoire de la grande musique, et Le jour où j’ai rencontré Franz Liszt, Pascal Amoyel continue avec bonheur ses incursions dans le théâtre musical. Plutôt que de se contenter de récitals, le pianiste explore toutes les possibilités de faire découvrir cette musique qu’il aime tant, aussi bien à travers ses compositions, ses livres, que ses fameux concerts littéraires.
Frédéric Arnoux, Theatrauteurs, Octobre 2019
(Pascal Amoyel) nous permet d’approcher sa douloureuse humanité, son intransigeance, son originalité. (…)
Nous ne pouvons que trop vous inviter et vous inciter à aller entendre, et applaudir longuement Pascal Amoyel qui depuis le 18 septembre, nous aide dans la recherche de Beethoven, cette quête de l’identité de ce flamboyant inventeur de sons et d’émotions. C’est un spectacle vif, fin, intelligent et didactique sans pédanterie. C’est suffisamment rare pour être salué.
Et nous n’écouterons plus jamais le grand Ludwig de la même manière, ni avec les mêmes sentiments.
Séverine Garnier, Le Parisien / Aujourd'hui en France, Octobre 2019
Avec une sensibilité et un savoir-faire remarquables, Pascal Amoyel fait entendre les géniales sonates pour piano de Beethoven : la "Pathétique", la "Clair de lune", l''Appassionata"... La ressemblance entre Pascal Amoyel et le fougueux Beethoven démultiplie la force du spectacle : leurs statures, leurs chevelures, leurs regards perçants. Les deux artistes sont en communion ! Et le public est pris aux tripes. Jamais la vie de Beethoven n'a paru si claire.
Au bonheur du piano, Octobre 2019
L’excellent spectacle de Pascal Amoyel au Théâtre du Ranelagh
Il faut d’abord saluer la performance de l’artiste : être à la fois acteur et pianiste est loin d’être facile, or c’est avec une aisance confondante que Pascal Amoyel passe de l’un à l’autre. Sa voix au timbre séduisant, son intonation naturelle, sa diction claire et jamais ennuyeuse alternent avec des exécutions pianistiques dignes du talent qu’on lui connaît.
Parler de musique classique à un public non musicien est un exercice extrêmement difficile (…) Tout en cheminant à travers les trente-deux sonates, il arrive à parler de détails compositionnels mais d’une manière intelligible pour tous et toujours dans l’objectif d’aider l’auditeur à percevoir plus clairement l’univers beethovénien. Et de la vie et du caractère de Beethoven, il n’en a extrait que ce qui réellement améliore la compréhension du sens de son œuvre (…)
On ne peut que louer chaleureusement l’artiste d’avoir partagé avec tant de talent, d’intelligence, d’émotion et d’ingéniosité son amour pour ce compositeur et ses sonates, de nous avoir rendu vivant ce personnage que la légende a tant dénaturé, d’avoir si bien mis en avant l’aspect profondément humain du message beethovénien.
Le Canard Enchaîné, Octobre 2019
Dans "Looking for Beethoven", récit musical captivant, bâti sur les 32 sonates du compositeur, Pascal Amoyel, pianiste virtuose, narrateur passionné et plaisant comédien, dresse un puissant portrait de Beethoven, colérique et asocial mais toujours profondément humain, loin des clichés austères qui lui sont attachés.
Voilà qui mérite des applaudissements assourdissants.
Ariane Dollfus, Paris Capitale, Octobre 2019
Un peu de théâtre, beaucoup de piano, en véritable virtuose Pascal Amoyel joue l'oeuvre de Beethoven en y insufflant une âme plus personnelle, sentimentale même. Expérience rare, moments suspendus... Il veut nous faire aimer tout autant la musique que le musicien lui-même qui s'est toujours voulu libre, démocrate, impétueux et qui dans sa musique a fait voler en éclat le cadre classque de la composition. La musique est universelle. Saura-t-il vous en convaincre ce soir ? Force, intensité et émotion...
Laurence Caron, Ce qui est remarquable, Septembre 2019
Pascal Amoyel saisit les cordes les plus sensibles, celles qui retiennent les touches blanches et noires autant que celles qui relient les émotions. Le titre l’indique, Amoyel conte Beethoven en mêlant sa propre expérience de vie au destin lumineux et tragique du génie romantique. L’ensemble se tisse avec humilité, de celle qui distingue les plus grands interprètes. La musique épouse les mots, ou l’inverse. Pascal Amoyel est Ludwig van Beethoven, sans artifice, l’interprète pare son jeu (dramatique et musical) de la couleur des sentiments, d'ailleurs peu importe le langage qu’il soit celui des mots ou celui de la musique, Amoyel passe de l’un à l’autre avec une épatante virtuosité.
Excellent comédien, Pascal Amoyel ne dérape à aucun moment sur le territoire glissant d’une quelconque approche didactique de l’œuvre du compositeur, ce qui pourrait paraître assommant pour ceux « qui n’y connaissent rien » autant que pour les érudits. Tout au contraire, Pascal Amoyel traduit ce qui a touché son âme d’artiste pour faire apparaître un véritable personnage de roman. (…) « …adieu et ne m’oubliez pas tout à fait une fois mort, j’ai mérité cela de vous, parce que j’ai souvent, dans ma vie, pensé à vous rendre heureux, soyez-le. »*
« Looking for Beethoven » est une vision poétique et passionnée, une sorte de biographie sincère, attentive et profonde, émouvante et souvent drôle, sentie à la fois par l’homme et par l’artiste, de toute façon l’un ne va pas sans l’autre. A conseiller vivement à tous les publics et pour le plus grand bonheur de l’Humanité.
Yaël Hirsch, Toute la culture, Septembre 2019
La tension monte, à mesure que l’obscurité gagne du terrain, la musique est de plus en plus présente, vivante matière de sang, de mémoire et d’émotions et avec une intensité bouleversante, Pascal Amoyel nous fait revisiter entre autres « La Temptête », la « Clair de lune », « Les adieux » et l' »Appassionata ». Il y a aussi un peu de Haendel et de Bach, dans cette interprétation marquante où Amoyel devient Beethoven, le temps précieux de sa recherche, avec et pour le public. Un spectacle fort, virtuose et généreux, à voir en famille pour trouver un tout nouveau Beethoven ensemble.
Philippe Escalier, Artistik Rezo, Septembre 2019
Pascal Amoyel lui présente « son » Beethoven et la magie opère au point qu’il devient aussitôt le notre. Nous voici emportés dans un maelström d’émotions fortes.
Comment rester de marbre en entendant que l’auteur de Fidélio, pourtant habitué à la solitude et au malheur, n’a jamais songé qu’à une chose : créer de la joie pour la faire partager aux hommes ? Cette joie dont l’hymne est devenue celle de tous les européens ! Et lorsque qu’arrive le dernier mot et la dernière note, il nous faut de longues minutes pour nous résigner : le spectacle et, plus encore, cette rencontre, viennent de prendre fin. Mais Looking for Beethoven, ce moment unique, restera longtemps gravé dans nos mémoires !
Olivia de Fournas, Famille chrétienne, Septembre 2019
Le pianiste Pascal Amoyel se surpasse dans un sublime ovni théâtral sur Beethoven, entre théâtre et concert. Il n'en est pas à son coup d'essai. Après avoir ébloui les spectateurs avec un spectacle sur Georges Cziffra et un autre sur Franz Liszt, le virtuose devient ici un vrai comédien. Il ne s'agit ni d'une biographie ni d'un cours sur Beethoven, mais de la compréhension de l'intérieur d'une oeuvre magistrale. Entre deux sonates du grand Ludwig, Amoyel met en résonnance la vie et l'oeuvre d'un grand compositeur autrichien.
Gérard Simon, La Provence, Juillet 2019
Looking for Beethoven (frissons garantis)
Pascal Amoyel, virtuose international habité par son héros - entré viscéralement dans la peau de cette légende vivante - interprète magistralement des sonates tout en traduisant avec justesse et délicatesse ce qu'elle décrivent : émotions, sentiments et images.
Les mots et les notes se superposent dans une même harmonie devant le public suspendu à ses lèvres autant qu'à ses doigts...
Ce Beethoven, notre "acteur" ne l'appréciait guère jusqu'à le découvrir à l'âge de 20 ans, et ne plus jamais le quitter. En chercheur passionné a l'affût de la moindre biographie, il marche alors sur ses traces tel un historien et s'en imprègne comme un confident, se transformant en ami intime - comme s'il l'avait accompagné tout au long de sa vie - pour le faire découvrir sous un angle que seul un proche fidèle pouvait connaître.
A coup sûr, des vocations suscitées chez le jeune public et un nouvel éclairage sur un monstre sacré en partie méconnu mûriront comme les fruits des vibrations magiques qui envahissent les coeurs et les tripes, allant crescendo dans ce spectacle inoubliable...
Grande musique pour tous : incontournable !