Outre l'élégance et le fini instrumental, la triade Zadig dispense des interprétations hautement pensées. On admire en particulier la plasticité du jeu du pianiste, pierre angulaire de cet type de pièce chambriste, comme le fut Menahem Pressler du Beaux Arts Trio. Lequel au demeurant vanta l'ensemble au titre voltairien comme de « véritables musiciens en constante ». Ils sont captés dans une acoustique agréable et un équilibre idoine entre les voix.
Jérôme Bastianelli, Diapason, novembre 2025
Les Zadig privilégient des tempos plutôt vifs, qui exaltent l'énergie des trios sans jamais la brusquer. Leur jeu se situe constamment à un rare point d'équilibre entre intimité chambriste et effervescence mendelssohnienne, entre profondeur mélodique et clarté de l'écriture. Leur sensibilité, leur enthousiasme, leur distinction concourent à donner à ces pages un relief lumineux. Entre fougue et précision, les interprètes éclairent la fraternité musicale de Fanny et Félix, rendant à la fois justice à leur unité d'inspiration et aux inflexions propres de leurs voix.
Pierre Gervasoni, Le Monde, Octobre 2025
Les Zadig se montrent à la hauteur de ses deux célèbres Trios par un dialogue idéal entre les instruments (…) qualités de timbre (le stradivarius mordant du violoniste Miclen LaiPang, le guarnerius velouté du violoncelliste Marc Girard Garcia).
ACTUALITÉ
Concert de sortie de CD
Le concert Zadig est en concert à la Salle Cortot à Paris ce lundi soir 20H00 à l'occasion de la…