Claire-Marie Le Guay
PIANO- Kieler Nachrichten, août 2024
- La Provence, août 2024
- Marie-Céline, avril 2024
- destimed.fr, 8 octobre 2023
- Panorama, Juin 2023
- Toute la Culture, Mai 2023
- Théâtre du blog, Mai 2023
- Classique mais pas has been, Mai 2023
- La Croix, Mai 2023
- Concertclassic.com, Mai 2023
- Ouest France, Février 2023
- France musique, Janvier 2023
- Pianiste magazine, Décembre 2022
- Radio classique, Novembre 2022
- Le Telegramme, Juillet 2022
- Classica, Novembre 2021
- Ouest France, Octobre 2021
- Radio Classique, Octobre 2021
- L'air du jour, Musikzen, Septembre 2021
- Sud Ouest, Septembre 2021
- Aix-en-Provence Culture, Septembre 2021
- Franceinfo.fr, Août 2021
- France info TV, Août 2021
- Wukali, Août 2021
- Resmusica, Juillet 2021
- Bachtrack.com, Juillet 2021
- Concertclassic.com, Juillet 2020
- PrestaPlume, Février 2019
- Diapason, Janvier 2019
- Wukali, 2018
- Ruhr Nachrichten, Juin 2018
- Wukali, Avril 2018
- Prestaplume, Mars 2018
- Le Figaro culture, Février 2018
- Publikart, Février 2018
- La Croix, Septembre 2017
- La Croix, Septembre 2017
- La Croix, Septembre 2017
- Ouest France, Octobre 2016
- La Croix, Mai 2015
- Festival Enescu, Septembre 2014
- La Croix, Octobre 2013
- Mannheimer Morgen, Mai 2013
- DrehPunktKultur (Mozartwoche Salzburg), Février 2013
- L'Express Style, Avril 2011
- Le Monde, Avril 2011
- Classica, Avril 2011
- New York Times, Mars 2000
- Chicago Sun-Times, Février 2000
Melissa Khong, Classica, Novembre 2021
(...) Claire-Marie Le Guay, grande zélatrice de ce répertoire, à la virtuosité élégante et au sens de la narration, nous convainc en faisant entendre dans cette ivresse faustienne une tendresse solaire. Ainsi, évoque-t-elle, comme le faisait Horowitz, le rêve et l’atmosphère, s’éloignant de l’insouciance de Buniatishvili (Sony Classical, 2010) ou de la séduction d’Abduraimov (Decca, 2011).
Cette vitalité irrigue également le célèbre Rêve d’amour, interprété sans aucune prétention, ainsi que le Cantique d’amour et Au bord d’une source. Ce dernier, qui n’a pas les inflexions soyeuses d’un Chamayou (Naïve, 2011), surprend en revanche par ses textures pétillantes et l’audace des dissonances distribuées dans son Bösendorfer. Seules les Funérailles semblent une peu trop concrètes, renonçant à la vision terrifiante qu’en imposait Volodos (Sony Classical, 200-06). Les Consolations reviennent à la simplicité, la première dans le sillage d’une bagatelle tardive de Beethoven alors que la célèbre n°3, plus feutrée, voit s’infiltrer une lumière rédemptrice.
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