Emmanuelle Bertrand
VIOLONCELLE- Resmusica, Octobre 2021
- Giornale della musica, Septembre 2021
- Le Monde, Septembre 2021
- Diapason, Septembre 2021
- Bachtrack.com, Août 2021
- Classica, Septembre 2021
- L'OBS, Août 2021
- www.resmusica.com, Juillet 2021
- La Nouvelle République, Juin 2021
- 5 Diapasons, Octobre 2019
- Classica, Octobre 2019
- Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné, Août 2019
- Var Matin, Avril 2019
- Le Devoir, Mars 2019
- Musicologie, Novembre 2018
- Quimper Cultures, Novembre 2018
- Musique classique & Co, Octobre 2018
- Septembre 2018
- Zoom d'Ici, Août 2018
- La Montagne, Août 2018
- Le Devoir, Juillet 2018
- La Nouvelle République, Juillet 2018
- Gouts et passions, mai 2017
- Le Progrès, 19 mai 2017
- Waterford News and Star, 18 April 2017
- Télérama, 30 mars 2017
- GoldenPlec.com, 26 March 2017
- Le Monde, 19 mars 2017
- The Sunday Independent, 19 March 2017
- Wunderkammern, 12 mars 2017
- La dépêche, 8 mars 2017
- Diapason, mars 2017
- Music Network, 25 November 2016
- Le Dauphiné Libéré, 30 août 2016
- Le progrès, 3 juillet 2016
- Süddeutsche Zeitung, 23 Februar 2016
- schallplattenkritik.de, 11 Februar 2016
- Klassik.com, 5 Februar 2016
- Classica, février 2016
- Neue Zürcher Zeitung, 22 Januar 2016
- Sinfini Music, 23rd December 2015
- Der neue Merker, 9 Dezember 2015
- SWR.de, 9 Dezember 2015
- The Guardian, 3rd December 2015
- Diapason, 1er décembre 2015
- Musikzen, 24 novembre 2015
- La Croix, 16 janvier 2016
- Unimedia, novembre 2015
- Arte
- Fono Forum
- La Montagne
- The Strad
- San Francisco Chronicle
- Télérama
- Le Figaro, 28 mai 2015
- Artamag, mai 2015
- All Music, May 2015
- Pulsion Audio, mai 2015
- RP online, April 2015
- The Classical Reviewer, February 2015
- The Guardian, February 2015
- MusicWeb International, September 2014
- BBC Music Magazine, April 2014
- BBC Music Magazine, September 2013
- Le Monde, 2013
- Classics Today, 2013
- The Strad, July 2013
- Gramophone Magazine, June 2013
- BBC Music Magazine, May 2013
- International Record Review, May 2013
- Classica, 2013
- BBC Music Magazine, December 2011
- Concertclassic.com, 2011
- PIANO La lettre du musicien, 2011
- Classica, Octobre 2011
- Diapason n°591, mai 2011
- La Croix, septembre 2011
- ResMusica, 2011
- La Terrasse, avril 2011
- BBC Music Magazine, 2008
- The Strad, 2008
- Journal du Jura, 2008
- Gramophone, 2008
- BBC Music Magazine, 2008
- Diapason, 2008
- Strad Magazine, 2008
- 2007
- Diapason, 2005
- The Strad, February 2004
- The Guardian, 23 January 2004
- The Irish Times, 8 January 2004
- The Observer, 8 January 2004
- Diapason, 2003
- Diapason, 2001
Jean-Luc Clairet, Resmusica, Octobre 2021
Intériorité extrême, jubilation dansante, volubilité digitale, naturel confondant: l’adéquation d’Emmanuelle Bertrand avec ce pilier du répertoire pour violoncelle seul est manifeste. (...) Des applaudissements trop empressés cueillent l’ultime Gigue de la célèbre suite n°1 mais Emmanuelle Bertrand obtient un long silence à l’issue du bis: un extrait de la Suite n°4. Une interprétation tellement habitée, que l’on regrette que le festival n’a pas songé à une intégrale
Paolo Scarnecchia, Giornale della musica, Septembre 2021
Grâce à l’extraordinaire sensibilité et musicalité de la violoncelliste française, les suites sont apparues sous une nouvelle lumière, capable de faire danser chaque note avec agilité selon une logique musicale rigoureuse (...) Ici s’est confirmée la qualité extraordinaire de l’artiste qui n’a pas cherché un salut épidermique de facile écoute, mais un moment de recueillement intense et inoubliable créé par le climat douloureux presque désolé de ce mouvement interprété avec une intensité si émouvante qu’il quitte la salle longtemps en silence, avant le grand applaudissement final.
Marie-Aude Roux, Le Monde, Septembre 2021
(...) Tous deux grands tempéraments lyriques, l’archet d’Emmanuelle Bertrand et le clavier de Pascal Amoyel font musique commune, chacun respirant dans le souffle de l’autre, mettant sa voix dans son chant, seul corps, âme unique. Leur jeu passionné, entier, que ce soit dans la retenue comme dans la ferveur, leur sens de la narration donnent à ces pages magnifiques une saveur sonore jouissive et une énergie sensuelle lovée dans le vif de l’émotion. On se réjouit d’autant plus du bonheur de ces sonates brahmsiennes que le programme les agrémente des six Liebeslieder, ainsi que de deux des Danses hongroises, entre jubilation, tendresse et nostalgie.
Augustin Javel, Bachtrack.com, Août 2021
S’appuyant sur des graves envoûtants, Bertrand trouve dès Prélude initial le subtil équilibre entre une parfaite stabilité rythmique et un sentiment d’improvisation permanent qui emporte tout de suite l’auditoire ailleurs, sans pour autant se rendre inaccessible (…) Graves généreux mais pas ténébreux, projection idéale, l’instrument paraît être un compagnon de choix pour ce répertoire.Mais si les suites ont toutes leur caractère propre, Bertrand mobilise dans chacune d’elle une technique en permanence au service de la musique et d’un idéal interprétatif. On retient avant tout l’usage du vibrato : utilisé avec beaucoup de parcimonie, Bertrand en fait appel dans des cas bien précis, pour faire sonner une résolution ou apporter un souffle supplémentaire (...) Lire article complet
Patrick Szersnovicz, Diapason, Septembre 2021
(...) Des dictions jumelles, un fondu d'âme et d'accent, une égalité des souffles leur réussissent pleinement dans les Liebeslieder, habiles transcriptions de six des plus belles mélodies de Brahms (...)
(...) Emmanuelle Bertrand attentive au détail comme à la variété de l'expression, séduit par une sonorité puissante, limpide et rayonnante. Elle investit la partition avec autant de ferveur que d'émotion. Le piano de Pascal Amoyel l'accompagne, l'entoure avec douceur ou bien dialogue, lui répond avec fermeté. Leur duo reste à l'unisson dans un même mépris des séductions trop immédiates, un même souci de la grande ligne, souple et clairement articulée, un même usage, généreux et subtil, du rubato et du legato. (...)
Fabienne Bouvet, Classica, Septembre 2021
Sans jamais négliger le sens du discours, Emmanuelle Bertrand & Pascal Amoyel livrent des sonates sensuelles & vibrantes. (...) Dès les premières mesures de la sonate n°1, la communion des idées et l'unité du geste s'imposent. (...) Il faut dire que la sensualité du jeu subjugue, tant les couleurs irriguent les phrases, tant les textures sculptent les lignes, tant certaines ombres fugaces viennent troubler l'émotion. (...) D'une tendresse irrépressible à fleur de peau, Emmanuelle Bertrand & Pascal Amoyel y chantent et virevoltent sur le ton de la confidence (...)
Philippe Cassard, L'OBS, Août 2021
Dès les premières notes de la sonate en mi mineur, émises avec une pudeur infinie qui étreint le coeur, on sait que la partie est gagnée. Emmanuelle Bertrand et Pascal Amoyel ont tellement joué ensemble depuis vingt ans que tout jailli d'un seul souffle et d'une pensée unifiée, avec une science admirable des équilibres et des passages de relais. A rebours d'autres duos rivalisant de muscles, les deux complices jouent ici un Brahms chaleureux, raffiné, qui chante avec ferveur son amour de la musique de chambre.
Benedict Hévry, www.resmusica.com, Juillet 2021
(…) cette vision de concert semble plus pacifiée, « bien tempérée », jouant la carte d’une synthèse entre l’héritage hédoniste de la tradition instrumentale française au XXe siècle, et l’irrépressible carrure rythmique, jamais prise en défaut, des danses baroques ainsi stylisées. L’approche se veut variée, claire, éclatante, voire solaire, dans les troisième et première suites ouvrant le premier concert, avec cette articulation bondissante et pulpeuse (les courantes !), mettant en exergue la polyphonie latente de ces pages. La cinquième est ici sous-tendue par un tout autre geste musical, d’une gravité impavide et d’une impérieuse sévérité avec cet austère prélude et fugue à la française inaugural ; ou cette sarabande très impressionnante de dépouillement dans sa linéarité, avec une impeccable tenue d’archet.
(…) D’une savante et patiente construction, cette passionnante version culmine dès le difficile prélude, égrené à la manière d’un luthiste menant une improvisation quasi non mesurée. La violoncelliste nimbe d’une approche austère, roide et quasi funèbre (prélude, sarabande et même menuets) la deuxième suite, alors que la sixième, malgré quelques signes d’évidente et bien compréhensible fatigue à la fin de cette odyssée, conjugue plénitude quasi aérienne et efflorescence jubilatoire notamment dans une sarabande, toute en accord de trois ou quatre sons, superbement épanouie, ou dans l’irrésistible gigue finale. Lire article complet
La Nouvelle République, Juin 2021
Chopin, enfin, et sa Sonate en sol mineur. Les regards et sourires des deux interprètes se croisent sans cesse. On sent la grande complicité qui les lie. Elle anime leur visage, irradie leur musique, se communique au public. Ce n’est pas seulement un plaisir de l’oreille : c’est aussi une réjouissance pour la vue. Avec une grande simplicité humaine, ils affrontent sans trembler la complexité des œuvres, nous laissant entrevoir un instant que c’est là le métier d’interprète : beaucoup de travail pour atteindre la nonchalance du plaisir. Lire article complet
Philippe Venturini, Classica, Octobre 2019
Le son se montre très riche, ample, appuyé sur un grave rocailleux, mais le geste demeure toujours cursif, aérien (les préludes, y compris celui de la Suite n°4). Les courantes partent d'un pied léger tandis que les gigues n'hésitent pas à marquer les appuis, sans lourdeur. Sans lourdeur ni pathos sont également abordées les sarabandes dans lesquelles se déploient la "polyphonie virtuelle" recherché par l'artiste. Emmanuelle Bertrand a ménager le grain du son, la densité du bois, l'élan chorégraphique et la contemplation "sans rien (...) qui pèse ou qui pose".
5 étoiles
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