Quatuor Akilone
QUATUOR À CORDES- resmusica.com, novembre 2024
- Crescendo Magazine, octobre 2024
- Latvijas Avīze
- Ouest France, Mars 2023
- Sud-Ouest, Octobre 2020
- Le Dauphiné, Août 2020
- Nice Matin, Juillet 2019
- Gramophone, Avril 2019
- Classica, Mars 2019
- resmusica.com, 21 février 2018
- Musiq3, 3 septembre 2017
- Nachrichten, 16 mars 2017
- Diapason, mai 2016
- opéracritique, avril 2016
- opéracritique, novembre 2014
- Classiquenews, juillet 2013
- Chambre avec vue, juillet 2013
- Reliefs sonores, février 2013
Jean-Luc Caron, resmusica.com, novembre 2024
Le raffinement de l'œuvre d'Antonin Dvořák séduit musiciens et auditeurs, comme le confirme, une fois encore, la récente lecture réussie du Quatuor Akilone. (…) Une des qualités du Quatuor Akilone, qui ressort à l'écoute de ce disque, est une exigence louable du respect de l'écriture et de l'esprit du compositeur tchèque. Il en résulte une intéressante expression de son monde intérieur, dénuée d'artifices mais nullement de sincérité et d'exigence interprétative. (…)
Le Quatuor n° 14, à l'instar du cycle entier, a reçu d'innombrables enregistrements, en grande majorité de première qualité. Le Quatuor Akilone s'y taille assurément une place de choix avec cette lecture remarquable de véracité, d'engagement et d'adéquation avec l'esprit du maitre tchèque. (…) L'ensemble brille par sa richesse mélodique, ses élans rythmiques et sa pudeur.
Jean Lacroix, Crescendo Magazine, octobre 2024
(…) joie communicative, l’investissement, généreux et chaleureux, des Akilone montre à quel point cette préparation à l’interprétation sous la forme d’un déplacement in situ a porté ses fruits en termes de complicité. Les Akilone viennent rejoindre avec aisance le lot des gravures de qualité pour voisiner avec les Stamitz, les Wihan, les Panocha, les Prazak ou les Zemlinsky.
Armands Znotiņš, Latvijas Avīze
Traduction du letton:
Mais ma plus grande joie fut la qualité de l'interprétation où, bien que j'aimerais souligner le talent créatif et l'initiative de Magdalena Geka, tout le quatuor nous a laissé l'impression d'un ensemble brillant, expressif et soudé, ceci pour les quatre musiciennes sans exception. La clé du succès de ce concert, où les pages de la musique des compositeurs lettons ont été illuminées par la diversité des timbres et du contraste des émotions, fut que le Quatuor Akilone a su donner vie d'une manière convaincante aux visions des sons indubitablement différents de A.Dzenitis et P.Vasks, où les cordes graves de la violoncelliste ont séduit (un argument supplémentaire pour mon plaisir personnel) tout en s'unissant avec les couleurs des deux violons et de l'alto.
(...)
L’interprétation du 2nd Quatuor à cordes de Peteris Vasks par le Quatuor Akilone, à travers leur compréhension et leur prisme d'intensité émotionnelle, fut surprenante. Dans mes souvenirs sont restés les caractères pastoraux, le spectre clair des nuances, et la plasticité visuelle - bien que cette fois-ci Magdalena Geka et ses acolytes ont accentué l'intensité dramatique et les lignes existentielles de l'enoncé de Vasks.
Ouest France, Mars 2023
"Les artistes avaient choisi des œuvres contrastées, et le quatuor de Joseph Haydn, tout en légèreté et en fraîcheur commençait bien cette soirée. Dans la musique de Schubert, les accents bien affirmés des interprètes illustraient toute la profondeur du compositeur, avec des couleurs passionnées qui caractérisent bien le musicien. Enfin, le quatuor de Leoš Janáček, la sonate à Kreutzer, concluait ce concert avec des tensions et des dissonances fort virtuoses, que les quatre jeunes femmes ont servi avec talent, alternant avec des moments de résolutions très doux. Le public a de nouveau longuement salué les artistes et cette dernière mélodie, tout en tendresse et en douceur après les sonorités multiples de cette élégante soirée. » Plus de détails
François Clairant, Sud-Ouest, Octobre 2020
(...) Il s’agit de l’Opus 131 de Beethoven, une des plus hautes créations de l’esprit humain. L’interprétation du Quatuor Akilone se hisse à la hauteur du chef-d’oeuvre. Tout y est : la mélancolie de la fugue initiale, la grâce de l’Allegro, l’approfondissement progressif des variations de l’Andante, l’ivresse du Presto et le dramatisme du final dont les interprètes se jouent des difficultés d’intonation. Elles ont tenu les promesses que le jury du Concours international de Bordeaux avait senti en elles en leur décernant le Grand Prix en 2016.
Eric Couhin, Le Dauphiné, Août 2020
Le jeune quatuor Akilone, au jeu élégant et raffiné, touche par son engagement et sa sensibilité. Il a conquis l'auditoire. Grâce à une maturité, une aisance et surtout un engouement communicatif, ce quatuor a su charmer le public.
L'enthousiasme du public a été à la mesure de la générosité et de l'authenticité des musiciennes, applaudies longuement.
André Peyregne, Nice Matin, Juillet 2019
Les jeunes femmes s'acharnent sur leurs instruments, font bondir leurs archets. Le public écoute, ému. Vertigineux pouvoir de la musique lorqu'elle recèle autant de sentiments !
Les quatre musiciennes ont fini, toutes frémissantes de leur performance. Le public se lève pour applaudir. Tout le monde est heureux...
Charlotte Gardner, Gramophone, Avril 2019
I’m taking the trouble to relay the quartet’s written thoughts because I’ve been so struck by how very audible this gradual transformation is across their three interpretations, to the extent that, having already listened extensively before reading the booklet, I didn’t need to be told that this was a rhetorical journey in time. Likewise the idea of polarity that they’ve adopted following discussions with their mentor, Alban Berg Quartet founder Hatto Beyerle; listen in the Schubert to the dynamic extremes happening on the flip of a coin, or the juxtaposition of music and silence in the Haydn second movement.
(…)
However, it is immensely classy: elegant, precise and dainty, sounding very much like a lively and intelligent conversation.
(…)
A superbly played, intelligent and thought-provoking debut. Félicitations á tous. Lire l'article
Fabienne Bouvet, Classica, Mars 2019
Le Quartettsatz de Schubert, oeuvre inachevée, est ici interprété d'un geste épuré, au vibrato surveillé, sans surcharge expressive, dans la veine d'un Quatuor Berg : rien de surprenant lorsque l'on sait que les Akilone ont étudié avec Hatto Beyerle, membre fondateur des Berg. Les interprètes cherchent ici l'abîme et contrastent les climats via des jeux d'éclairage, relevant tantôt d'une urgence existentielle paroxystique, tantôt d'une délicatesse incroyable (magnifiques triples pianos en dentelle !).
Cet album, sans surclasser les versions historiques, témoigne d'une approche analytique et d'une finesse du trait passionnantes. Voilà assurément un ensemble à suivre.
Michèle Tosi, resmusica.com, 21 février 2018
[…] les Akilone affinent les couleurs et la beauté des lignes. Elles parviennent à instaurer une belle synergie dans l’introduction du quatrième mouvement pour mener à terme, avec la passion et l’envergure sonore souhaitées, les dernières pages du quatuor fort bien négociées. […]
L’émotion est à fleur d’archet dans le jeu des Akilone. […]
Les quatre instruments souvent solidaires forment un méta-instrument où fusionnent les timbres, se distord la matière, lisse ou hérissée, dans un flux incessant et très énergétique : sinuosités, aplats de couleurs, éclats, granulations traversent cette trajectoire unique traduisant la frénésie du geste qui travaille la matière. Saluons la performance des Akilone qui en restituent l’urgence et les aléas fantasques avec une souplesse et un investissement exemplaires Lire l'article complet
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