Mark Everist, Classique mais pas has been, Octobre 2022
Ce fut un concert étonnant. Le Trio Zadig ne se contente pas de vous offrir une alternative au répertoire habituel des trios piano et cordes (Beethoven, Schubert, Brahms). Il se produit avec une énergie et un engagement que l’on entend rarement sur les scènes actuelles (…) Le violoniste Boris Borgolotto a dirigé l’ensemble avec une énergie et une passion à revendre, un enthousiasme partagé par le reste de l’ensemble. Plus de détails
Benedict Hévry, ResMusica, Août 2022
(…) la cohésion enchanteresse des deux cordes et le raffinement de toucher du pianiste (…) les Zadig combinent finition instrumentale, transparence du jeu, engagement physique de tous les instants, et sens de la construction architecturale. Mais ils n’oublient pas pour autant le sens du divertissement au fil des pièces paires (le très syncopé allegretto et la valse capiteuse du grazioso) auxquelles ils donnent un chic fou. Plus de détails
Clara Leonardi, Bachtrack, Février 2022
C’est cependant sans conteste le Trio n° 2 op. 92 de Saint-Saëns qui sert de clou du spectacle. L’énergique Trio Zadig décortique chaque mouvement pour en exacerber les contrastes. (…) tantôt attendris, tantôt extravertis, violon et violoncelle trouvent une personnalité nouvelle à chaque occurrence du thème chanté du troisième mouvement ; dans le quatrième, ils se font tantôt mystérieux, pour des pianissimos nimbés de brume, tantôt espiègles – s’appuyant sur un piano inébranlable dont la précision de l’articulation demeure, d’un bout à l’autre de l’œuvre, remarquable. Si le finale démarre de manière plus décousue, on reprend pied avec un motif de fugue où des attaques incisives permettent de distinguer clairement chaque entrée sans jamais perdre l’équilibre des voix. Après un trait conclusif ébouriffant de netteté, le public ébloui n’y tient plus et demande non pas un, mais deux bis : ce sera l’occasion d’entendre notamment un extrait des Quatre Saisons de Buenos Aires de Piazzolla fougueux à souhait, qui promet au jeune Trio Zadig de belles perspectives dans d'autres répertoires. Plus de détails
Pierre-Jean Schoen, Utmisol, Janvier 2022
(...) On passe de moments intimistes à d’autres grandioses et impétueux. Les trois musiciens semblent se démultiplier pour permettre à l’œuvre de se déployer pleinement, et le résultat est magnifique. Plus de détails
Jacques Bonnaure, Classica, Décembre 2021
(...) Le Trio Zadig se montre brillant, et même parfois un peu pressé dans le Trio, ce qui met en valeur la virtuosité des solistes, notamment le pianiste Ian Barber qui joue sur un superbe Opus 102 de Stephen Paulello. La sonorité est équilibrée et le style, vigoureux et clair, sans emphase ni lourdeur.
Ingobert Waltenberger, Feuilleton scout, Novembre 2021
Le nouvel album du trio Zadig, le deuxième après le sensationnel premier album "Something in Between" paru en 2019, offre sans doute la commémoration la plus édifiante et la plus divertissante du centenaire de Monsieur Saint-Saëns qu'un mélomane puisse imaginer. Sans exagérer, il s'agit de l'un des points culminants les plus extraordinaires de toute la discographie du trio avec piano. Un disque indispensable pour les amateurs de musique de chambre exigeante mais savoureuse, qui peut dignement être placé sous le sapin de Noël (...) Plus de détails
G. Szeless, Oberösterreichisches Volksblatt, Octobre 2021
(...) Aber hinter seiner Kunstausübung voll Leidenschaft, Enthusiasmus und Virtuosität steckt noch viel mehr.
So frisch und kühn, der wahren Authentizität verwandt, ist eine solche Herangehensweise an die Stücke sonst nicht leicht zu erleben. Dabei bleibt nichts auf der Strecke. Nicht der emotionale Aufwand, nicht der höchste technische Anspruch, nicht das präzis dem Werkinhalt angepasste, in die Tiefe der Interpretation hineinleuchtende gestalterische Konzept. (...) Plus de détails
François Laurent, Diapason, Octobre 2021.
(…) La réduction pour trio avec piano du poème symphonique de Liszt préserve les subtils contrastes de lumière, habilement restitués par l’interprétation - le crescendo-decrescendo des trois dernières minutes est une petite merveille (…).
Carnets sur sol, Octobre 2021
Un des tout meilleurs trios en activité, avec en particulier des cordes d'un charisme extraordinaire. (...) une sorte d'audace virtuose, où chaque motif à chaque instrument est ciselé et immédiatement présent et mélodique. Cette attitude dynamise beaucoup cette page, déjà très belle. (...) Trissé pour le Saint-Saëns, bissé pour le reste.
Jean-Jacques Millo, Opus Haute Définition e-magazine, Septembre 2021
(...) Le Trio Zadig s’empare de ces oeuvres à bras le corps, dans une ferveur communicative qui ne lâche pas l’auditeur jusqu’à la dernière note d’un programme exigeant. Plus de détails