Arts-Scène Diffusion

Guillaume Coppola

PIANO

L'apothéose de la musique de chambre

 

Guillaume Coppola, piano
Hugues Borsarello, violon
Arnaud Thorette, alto
Yann Levionnois ou Antoine Pierlot, violoncelle

 

Mozart est à l’apogée de sa notoriété en 1785 quand il décide d’ouvrir - le premier - la voie singulière du quatuor associant le piano aux cordes. Cette forme rare de musique de chambre dans laquelle chaque partie trouve à s’exprimer pleinement et plus librement a offert quelques pages incontournables. Ainsi ce programme réunit aux côtés du dramatique quatuor en sol mineur K 478, l’inoubliable quatuor opus 47 de Robert Schumann datant de 1842. C’est une année faste pour le compositeur qui a vu surgir en quelques mois les 3 quatuors à cordes opus 41 et le quintette avec piano. Brahms s’inscrira un peu plus tard dans cette tradition en composant à son tour 3 quatuors avec piano dont le 3ème - ébauché en 1856 et achevé en 1875 - figure au sommet de sa production pour la musique de chambre. 

 

MOZART
Quatuor avec piano en sol mineur, K. 478 27’

SCHUMANN
Quatuor avec piano en mi bémol majeur, op. 47 28’

---

BRAHMS
3ème quatuor avec piano en ut mineur, op. 60 37’

 

ACTUALITÉ

Cabaret Satie

Le temps d’une date parisienne, Guillaume Coppola s’associe à Bertrand Périer pour célébrer la sortie de son disque Satie chez…

Lire la suite

Le temps d’une date parisienne, Guillaume Coppola s’associe à Bertrand Périer pour célébrer la sortie de son disque Satie chez Alpha Classics. Rendez-vous ce mercredi 3 décembre à 20h au WeiD de Paris (75).

Venez assister à une création originale dans une atmosphère intimiste de cabaret. Un spectacle où dialogueront musique et écrits du compositeur et où le talent de Guillaume répondra à l'humour pince-sans-rire assez irrésistible de Bertrand Périer, avocat dans la vraie vie et maître dans l’art de l’éloquence. 
On connaît le Satie solitaire, mais on sait moins qu'il fut aussi un grand amoureux. Cette soirée est conçue au prisme de sa brève et houleuse liaison avec la peintre Suzanne Valadon, qui a d'ailleurs réalisé ce portrait de lui. A l’image de ce musicien fantasque qui n’est jamais là où on l’attend, c’est une vision toute en nuances de Satie qui se dessine, masquée par un voile de pudeur ou de provocation, entre inspiration antique et orientale (Gymnopédies, Gnossiennes), phase mystique (Danses gothiques), humour (Valses du précieux dégoûté) et cabaret (Je te veux, la Diva de l'Empire). 

TEASER


Ce site utilise des cookies. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies.